La sécheresse de 2022 sur les fourrages : comment faire face à la procédure des calamités agricoles ?

L’eau est un élément essentiel à la vie et aux écosystèmes. Les milieux aquatiques, tels que les rivières, les lacs, les estuaires ou encore les eaux souterraines, sont des éléments clés de notre environnement. Ils abritent une grande diversité d’espèces animales et végétales et sont indispensables à de nombreuses activités humaines, comme l’agriculture, la pêche ou encore la production d’électricité. Cependant, la gestion de ces ressources en eau est un enjeu majeur pour l’avenir de notre planète. Dans cette optique, il est important de comprendre les différentes caractéristiques et spécificités des milieux aquatiques ainsi que les usages qui en sont faits. Cet article se propose de présenter les différentes formes d’eau et de milieux aquatiques, ainsi que les usages qui leur sont associés.

‘Nos sujets sur la sécheresse’

Les différents types d’eau et de milieux aquatiques comprennent les précipitations, les rivières, les lacs, étangs et autres plans d’eau, les estuaires, lagunes et deltas, les eaux côtières, les milieux humides et les eaux souterraines. Ces ressources sont utilisées pour divers usages.

‘Avis favorable du Comité National de Gestion des Risques en Agriculture pour la reconnaissance de calamité agricole suite à la sécheresse de 2022 sur les surfaces fourragères’.

Dans le département du Gard, deux zones ont été identifiées comme sinistrées : la zone des Cévennes avec une perte de 33 % pour les prairies et parcours et de 60 % pour les fourrages annuels, qui s’étend sur 96 communes, et la zone Garrigues-Camargue avec une perte de 45 % pour les prairies et parcours et de 60 % pour les fourrages annuels, qui couvre 185 communes. Vous pouvez télécharger la cartographie et la liste des communes reconnues sinistrées en format PDF.

En conclusion, les zones Cévennes et Garrigues-Camargue dans le Gard ont subi des pertes importantes sur leurs prairies, leurs parcours et leurs fourrages annuels, avec des taux allant jusqu’à 60%. Ces pertes ont affecté un grand nombre de communes dans ces zones sinistrées. Il est donc essentiel de prendre des mesures pour aider les agriculteurs et les éleveurs à surmonter cette crise et à protéger l’environnement dans ces régions fragilisées.